lundi 3 août 2020

Découvrez des Teasers de Midnight Sun de Stephanie Meyer



Chaque mardi et vendredi , vous pourrez retrouver une courte citation postée par Stephenie Meyer sur son site



"Nous nous fixions du regard pendant quelques instants, alors que j'intégrais le fait que, puisqu'elle était mon premier amour, selon ces faits j'étais aussi tout du moins son premier coup de coeur. Cette position me plaisait d'une manière assez étrange, mais cela me perturbait aussi. C'était sûrement une manière détournée et malsaine pour elle de lancer sa vie amoureuse"

 

"Ses inquiétantes prémonitions étaient jusque là proches, elles étiraient leurs tentacules si profondément dans l'avenir, que même elle ne comprenait pas toutes les actions qu'elle entreprenait. D'une manière ou d'une autre, elle avait senti, des années avant même que Bella ait choisi de venir à Forks, qu'à un moment donné, je ferais face à l'épreuve la plus bizarre possible. Peut-être était-elle omnisciente après tout"


Tous les mots que nous avons prononcés ici - chacun d'entre eux était une autre graine de grenade

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Je devais tenir un rôle à présent. Je connaissais ce rôle que je devais incarner - je maîtrisais le personnage. Je serai le méchant de l'histoire.


Peut être vais je tenter une forme plus dynamique de l'éblouissement



"Emmet" soupirai je . "Je t'achèterai une nouvelle Jeep". Il ricana une fois. "Pas de soucis".



"Dès lors, nous conduisons jusqu'à ce qu'il n'y ait plus de bitume"
"Et qu'est ce qu'on trouve là bas? " demanda t-elle. "Là où il n'y a plus de bitume?"
Une forêt vide . Un manque absolu de témoins. "Un chemin de randonnée"



En premier lieu, je bougeais lentement, un tout petit plus vite que la vitesse humaine, alors que je prenais une douche, me nettoyant pour enlever les résidus de la forêt sur ma peau et mes cheveux. Comme avant, dans la voiture, je me sentais endommagé, diminué, comme si ma force m'avait été retirée. Tout ça c'était dans me tête, évidemment. Ce ne serait rien d'autre qu'un miracle, un présent si je pouvais d'une manière ou d'une autre perdre ma force. Si je pouvais être faible, inoffensif, un danger pour personne. 


J'ai honte de me laisser influencer par d'autres personnes qui n'ont jamais été à la hauteur de Carlisle. Mais je leur enviais leur liberté. Et je pensais que je pourrais vivre au dessus de cette abysse morale dans laquelle ils plongeaient tous. Puisque j'étais unique j'ai secoué la tête à cette arrogance



Regarde moi avec ces yeux ronds, tu veux , espèce de petite nuisance à la tronche bizarre?

Le visage de Bella blêmit. Elle avait l'air figée sur place comme si elle ne pouvait pas regarder autre part que ce coin tout au fond dans la pièce.
Je me suis retourné rapidement et j'ai jeté un regard menaçant à Rosalie, mes lèvres dévoilant mes dents. Je râlais doucement contre elle.

Elle me jeta un regard du coin de l'oeil, puis mis sa tête hors de notre angle de vue. Je regardais de nouveau Bella alors qu'elle se tournait pour me dévisager.

C'est elle qui a commencé, pensa Rosalie d'un air maussade



Les yeux de Rosalie se fixèrent sur moi, un regard intense empli de gratitude alterant ses traits d'une manière que je n'avais jusqu'alors pas vu. Pendant un instant, je me suis souvenue à quel point elle était très belle.



"Ce n'était pas la toute première fois de ma vie que j'aurais aimé faire en sorte que mon cerveau se calme. Le forcer à se mouvoir à allure humain, si ce n'est que pour une seule journée, une heure, afin que je n'ai pas le temps de ressasser encore et encore les mêmes soucis sans solutions"



"Je pensais à toutes les choses horribles qu'elle avait accepté sur mon compte sans même frissonner. Il semblerait que seuls les autres vampires étaient effrayants"



Pensait elle que j'avais autant confiance en moi? Ne pouvait elle pas deviner à quel point tout cela était en dehors de ma zone de confort? J'excellais dans des tas de domaines, la plupart d'entre eux grâce à mes capacités surhumaines. Je savais quand je pouvais être en confiance. Et là ce n'était pas un de ces moments



Autant j'aurais adoré sortir de cette camionnette et m'approcher de ce duo sans défense - pour me pencher vers eux , intimidant, assez proche pour que tous les petits signes trahissant qui j'étais leur donneraient envie d'hurler sur le vieil homme, pour montrer mes dents et grogner en guise d'avertissement d'une voix qui sonnerait tout sauf humaine, pour voir leur cheveux se dresser sur leur tête et les entendre bafouiller à cause de leur panique - je savais que c'était une mauvais idée



Jasper suivait Alice en descendant les escaliers, ne su ruant pas mais ne bougeant pas non plus avec précaution comme Carlisle et Esmé. Il n'avait pas besoin de faire son show. Tout ce qu'il faisait semblait naturel et correct.
A vrai dire, il en rajoutait un peu



Aucun d'entre eux ne nous remarqua ici, flânant à cette table de cantine délabrée, comme si une embuscade de tigres se prélassant à notre place serait moins mortel que nous. Tout ce qu'ils voyaient, c'était 5 personnes étranges, assez humains pour qu'ils passent à côté.



Et c'est alors que mes dents claquèrent si fortement que même les humains près de nous l'entendirent. Un garçon près de nous regarda pour trouver la source de ce craquement.

Oups , se dit Emmet.

Je serrais mes poings, et me concentrait pour rester à ma place.

Désolé , j'essayais de ne pas penser à cela.

Je jetai un coup d'oeil à l'horloge. Quinze minutes avant que je puisse lui mettre mon poing dans la figure. 
                                

Ces jours là avaient tellement d'importance et se terminaient si rapidement

Mais Carlisle pensait que j'en étais capable - tellement doué, si fort, très intelligent pour que les victimes succombent à mes bas instincts. Il avaient sans doute dû voir quelle réponse je donnais à ses louages internes. Ca me rendait arrogant, je pense, mais ça a aussi façonné l'homme que je voyais dans sa tête, si déterminé à mériter son appréciation qu'il me donnait déjà. Carliste était ainsi. 


Cétait exactement ce que j'attendais. Ce que je me disais toujours vouloir désirer. Qu'elle fasse demi tour. Qu'elle se préserve et qu'elle me laisse seul et brûlant 

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Si elle décidait de ne plus être ma soeur ce soir, c'était son choix et je l'acceptais.



Tant de douleur et tant de sang et je ne pourrais jamais lui demander des comptes. Cela n'était pas suffisant de le voir mourir, de le voir brûler. Ca ne serait jamais assez.


Il ne restait rien du futur en lequel elle croyait jusqu'à ce moment. Peu importe ce qui avait changé car c'était assez important pour qu'il ne laisse rien de notre destinée inachevée. Alice et moi ressentons tous les deux une pointe de panique

1 commentaire:

Merci pour votre commentaire. Je le validerai après l'avoir lu . Belle journée et merci pour votre fidélité