Fleur, 23 ans, 1 mètre 73, cheveux jusqu’au sol et yeux de biche. Voilà, ça, ce n’est pas moi !
Où peut on te suivre sur les réseaux sociaux?
Instagram principalement. Je suis aussi sur Facebook, mais vraiment mon réseau préféré reste Insta. @fleurhana
Tu écris dans différents genres? Quel est ton genre de prédilection?
La romance, bien sûr . Et la littérature dite féminine dans sa globalité.
On comptera les étoiles est une romance YA . Depuis combien de temps cette histoire te trotte t-elle en tête?
Des années, je n’osais pas franchir le pas car écrire sur et pour des ados, c’est impressionnant !
Quelles ont été les difficultés à écrire une romance YA comparé à une romance New Adult?
Justement, me dire que des ados allaient peut-être me lire que j’avais donc un « devoir » plus symbolique. La pression est plus forte, en tout cas pour moi.
Y a t-il des genres dans lesquels tu aimerais écrire? Pourquoi?
Le thriller gore, à la Tarantino, c’est mon rêve, mais je ne me sens pas encore prête. Et la romance historique, un jour quand je serai grande, je serai Monica McCarty !
Parle nous à présent de Sam et Lia. Pourrais tu les présenter en quelques lignes?
Lia est une ado de 17 ans atypique, marginale. C’est cette jeune fille que tu vois seule dans la cour, à la récré, avec un bouquin à la main et qui a la capacité de s’enfermer dans sa bulle même quand le monde l’entoure.
Sam est un jeune adulte solaire très populaire dans son lycée. Il est musicien, c’est sa passion et il veut en faire son métier. Alors les cours, le bac, il s’en fout un peu.
Leur rencontre était inexorable, ce n’est pas moi qui le dis : c’est Lia.
De qui t'es tu inspirée pour créer ces personnages?
Je pourrais te le dire, mais il faudrait ensuite que je te tue et je n’ai vraiment plus de créneau dans mon agenda pour caser une exécution.
Quelles sont leur force et leur faiblesse?
La force de Lia c’est sa résilience, elle est aussi sa faiblesse.
La force de Sam est sa capacité à s’engager à fond dans les causes qu’il défend. Sa faiblesse, c’est Lia.
Quelle a été la scène la plus difficile à écrire ? Pourquoi?
La scène centrale, et je ne dirai pas exactement pourquoi car ça dévoilerait ce qu’il est préférable de découvrir à la lecture. Mais elle est paradoxalement la première scène que j’ai écrite de tout le roman. Moi qui écris chronologiquement, c’était une première. La symbolique est forte : il fallait que j’écrive cette scène.
Y-a t-il des scènes "coupées" au montage ?
Non, aucune, nous avons remanié des passages mais tout a été conservé. Mon éditrice est top, ça aide ;)
Quelle est celle qui t'a fait le plus rire?
Les dialogues ubuesque entre Sam et Lia, je pourrais en inventer un par jour sans me lasser.
Peux tu nous parler de tes futurs projets?
Ils sont très nombreux, mais dans l’immédiat il y a ma première chicklit qui sort le 21 juin, un feuilleton de l’été en 3 épisodes que j’ai adoré écrire. Et à la rentrée en septembre, je tente de sortir totalement de ma zone de confort. Mes lectrices ont l’habitude de mes romances contemporaines réalises où je raconte la vie, on peut s’identifier aux personnages… ce sont des histoires qui pourraient nous arriver. Mais là, je mets les pieds dans une série de romances qui se déroulent dans le milieu des clubs de moto illégaux. Le grand écart de dingue, les probabilités que je me ramasse sont hautes, mais YOLO (oui, je dis toujours YOLO, même si ma fille m’a avoué que ce n’est plus tendance et que ce sont les vieux qui veulent paraître jeunes qui le disent)
Et pour finir, je te laisse le mot pour la fin . Merci pour cette interview
Merci aux lectrices qui me suivent et me soutiennent, sans vous, l’aventure ne serait définitivement pas la même. Et puis, clin d’œil à celles qui font partie de mes lectrices VIP : je vous Kiss, comme Prince !
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