Netflix - Mon avis sur Code 8

Dans un monde où quatre pour cent de la population naît avec des pouvoirs surnaturels qui sont interdits, un jeune homme désespéré aux habiletés spéciales entre en conflit avec une force de police militaire et des robots à la suite d'une dispute. Un ex-mafrat et un trafiquant de drogue vont s'allier pour mettre fin à un dangereux réseau de criminels.

Date de diffusion : 14 janvier 2020

Durée : 1h38 

Note : 

Mon avis : C'est un thriller traditionnel dans le sens du terme où on découvre Stephan Amell ( Arrow) jouant face à son cousin  On passe un bon moment même si l'intrigue est cousue de fil blanc et qu'on connait la fin dès le début. 

Connor Reed est un jeune homme qui fait partie des Electriques. Il ferait tout pour aider sa mère qui est de plus en plus malade. Ces personnes dotés de pouvoir sont très surveillés par la société et les forces de police ne sont jamais loin pour intervenir. Connor va donc accepter l'offre de Garrett Kelton pour trouver l'argent nécessaire à son opération. Il n'a pas un fond méchant mais il sera dépassé par les événements. Il n'apprécie pas d'utiliser son pouvoir à tort mais il ferait tout pour garder espoir et sauver sa mère d'une issue fatale. 

Garrett est donc le chef de l'équipe qui va engager Connor pour des actes en lien avec un baron de la drogue. Ils ont tous des pouvoirs, ce qui "facilite" les larcins. Il n'hésite pas lui à franchir les limites et seul l'argent compte. Les difficultés vont vite s'accumuler et son équipe pourrait être mise à mal. 

Marcus Sutcliffe est le méchant de l'histoire. C'est un baron de la drogue qui veille à sa sécurité mais qui reste fourbe au possible . Lui faire confiance serait une confiance mais cette erreur sera commise. Il est manipulateur et utilise les gens juste pour ses fins personnels. Il manipule aussi Nia pour qu'elle le soigne en échange de la drogue dont elle est dépendante. 

Bref, un film d'action basique , qui fait passer le temps mais qui ne retiendra pas forcément l'attention. Code 8 se laisse regarder sans prise de tête.