Alors qu’elle s’apprêtait à profiter d’un week-end romantique pour célébrer le troisième anniversaire de sa guérison, Daisy reçoit une terrible nouvelle : elle est atteinte d’un nouveau cancer en phase terminale. La mort est une perspective effrayante ; abandonner Jack, son mari brillant mais adorablement démuni face à la vie, l’est encore plus. Daisy se lance donc avec acharnement dans la quête de la femme idéale pour qu’après son départ, Jack ne se retrouve pas seul. Mais lorsque l’image de son mari avec une autre ne devient que trop réelle, Daisy devra choisir ce qui compte le plus pour elle dans les quelques mois qu’il lui reste : son propre bonheur ou celui de Jack...
Date de sortie : 12 juin 2019
Editeur : Milady
Prix: 18.90 euros
Pages : 416 pages
Note :
Avant de vous donner mon avis le plus complet, je tiens à dire un grand merci aux Ladies de l'Edition et aux Editions Milady pour m'avoir permis de lire en SP ce roman.
Mon avis : J'avais lu le précédent roman de Colleen Oakley qui m'avait beaucoup touché et je ne suis pas étonné que La première fois qu'on m'a embrassé je suis morte ait remporté le prix des lectrices 2019 car la plume de l'auteur sait nous faire vivre de superbes émotions. Ce nouveau roman n'échappe pas à la règle .
Daisy Ritchmond a vaincu à 27 ans un premier cancer et alors qu'elle allait fêter ses quatre ans de rémission, un terrible verdict va s'abattre sur elle. J'ai adoré découvrir ce personnage qui nous fait entrer au coeur de la bataille , entre ses doutes, ses espoirs et ses souffrances. La première bataille avait été rapide et efficace mais la deuxième risque bien d'être fatale. On se demande comment un tel fatalisme peut toucher deux fois une même personne alors qu'elle a tout mis en oeuvre pour aller de l'avant. Le destin nous fait parfois de sacrés pieds de nez et elle va donc espérer organiser sa vie avant le grand départ. Vous vous dites que ce roman peut être morbide mais il ne l'est pas car même si l'espoir n'est plus au rendez vous, j'ai aimé passer ces quatre mois en sa présence. On la verra en présence des trois personnes qui comptent le plus dans sa vie et on découvrira l'impact de cette nouvelle sur leur propre vie.
Kayleigh est sa meilleure amie et le moins que l'on puisse dire c'est qu'avec elle , on n'y va pas par quatre chemins. Elle n'a pas sa langue dans sa poche et elle ne va pas supporter que Daisy la laisse de côté pour affronter cette bataille. D'apparence, elle semble loufoque, écervelée mais c'est simplement une personne qui n'a pas su trouver la personne qui l'aimerait à sa juste valeur. On ne peut pas dire que l'entente soit très cordiale entre elle et le mari de Daisy mais ils sauront mettre leur différends de côté pour faire plaisir à notre héroïne. Son métier d'institutrice ne la comble pas non plus mais pourtant elle persiste dans cette voie de garage. Daisy devrait être un déclencheur pour lui montrer que la vie doit être vécu à 100% et non être subie. Quant à la mère de Daisy, nous apprendrons à la connaître par le biais des réflexions de cette dernière. Elle n'a jamais été un modèle d'amour maternel mais elle aussi luttera contre ses propres démons pour revenir à la vie.
Jack Richmond est le mari de notre héroïne et ce ne sera qu'à la toute fin que nous aurons son point de vue. Nous n'avons que des suppositions de la part de notre héroïne. Elle s'est mis en tête de trouver une femme capable de combler le vide qu'elle laissera mais au milieu de sa quête, elle verra que ce ne sera pas chose facile. Jack est sur le point d'obtenir son diplôme et il est donc hors de question que ce cancer lui prenne aussi cet aspect de leur vie conjugale. Jack est un mari aimant , attentionné mais qui sera aussi dépassé par les coups de la vie. Au fur et à mesure de l'évolution fatale de la maladie, une distance semble se mettre en place mais on découvrira pourquoi à la fin du roman. On va faire , comme Daisy , des suppositions et on va espérer qu'elle se trompe. Les sales petites manies de Jack deviendront des routines qui seront le lien unique entre ce couple dont l'histoire d'amour sera aussi formidable qu'émouvante.
Bref, si vous aviez aimé le premier roman de Colleen Oakley, vous apprécierez d'autant plus ce roman qui m'a ému aux larmes. On sait la finalité et pourtant l'émotion ne cesse de grandir au fil des pages. L'auteur nous fait passer des émotions intenses et vraies par le biais d'une histoire douloureuse mais merveilleuse.
Mon avis : J'avais lu le précédent roman de Colleen Oakley qui m'avait beaucoup touché et je ne suis pas étonné que La première fois qu'on m'a embrassé je suis morte ait remporté le prix des lectrices 2019 car la plume de l'auteur sait nous faire vivre de superbes émotions. Ce nouveau roman n'échappe pas à la règle .
Daisy Ritchmond a vaincu à 27 ans un premier cancer et alors qu'elle allait fêter ses quatre ans de rémission, un terrible verdict va s'abattre sur elle. J'ai adoré découvrir ce personnage qui nous fait entrer au coeur de la bataille , entre ses doutes, ses espoirs et ses souffrances. La première bataille avait été rapide et efficace mais la deuxième risque bien d'être fatale. On se demande comment un tel fatalisme peut toucher deux fois une même personne alors qu'elle a tout mis en oeuvre pour aller de l'avant. Le destin nous fait parfois de sacrés pieds de nez et elle va donc espérer organiser sa vie avant le grand départ. Vous vous dites que ce roman peut être morbide mais il ne l'est pas car même si l'espoir n'est plus au rendez vous, j'ai aimé passer ces quatre mois en sa présence. On la verra en présence des trois personnes qui comptent le plus dans sa vie et on découvrira l'impact de cette nouvelle sur leur propre vie.
Kayleigh est sa meilleure amie et le moins que l'on puisse dire c'est qu'avec elle , on n'y va pas par quatre chemins. Elle n'a pas sa langue dans sa poche et elle ne va pas supporter que Daisy la laisse de côté pour affronter cette bataille. D'apparence, elle semble loufoque, écervelée mais c'est simplement une personne qui n'a pas su trouver la personne qui l'aimerait à sa juste valeur. On ne peut pas dire que l'entente soit très cordiale entre elle et le mari de Daisy mais ils sauront mettre leur différends de côté pour faire plaisir à notre héroïne. Son métier d'institutrice ne la comble pas non plus mais pourtant elle persiste dans cette voie de garage. Daisy devrait être un déclencheur pour lui montrer que la vie doit être vécu à 100% et non être subie. Quant à la mère de Daisy, nous apprendrons à la connaître par le biais des réflexions de cette dernière. Elle n'a jamais été un modèle d'amour maternel mais elle aussi luttera contre ses propres démons pour revenir à la vie.
Jack Richmond est le mari de notre héroïne et ce ne sera qu'à la toute fin que nous aurons son point de vue. Nous n'avons que des suppositions de la part de notre héroïne. Elle s'est mis en tête de trouver une femme capable de combler le vide qu'elle laissera mais au milieu de sa quête, elle verra que ce ne sera pas chose facile. Jack est sur le point d'obtenir son diplôme et il est donc hors de question que ce cancer lui prenne aussi cet aspect de leur vie conjugale. Jack est un mari aimant , attentionné mais qui sera aussi dépassé par les coups de la vie. Au fur et à mesure de l'évolution fatale de la maladie, une distance semble se mettre en place mais on découvrira pourquoi à la fin du roman. On va faire , comme Daisy , des suppositions et on va espérer qu'elle se trompe. Les sales petites manies de Jack deviendront des routines qui seront le lien unique entre ce couple dont l'histoire d'amour sera aussi formidable qu'émouvante.
Bref, si vous aviez aimé le premier roman de Colleen Oakley, vous apprécierez d'autant plus ce roman qui m'a ému aux larmes. On sait la finalité et pourtant l'émotion ne cesse de grandir au fil des pages. L'auteur nous fait passer des émotions intenses et vraies par le biais d'une histoire douloureuse mais merveilleuse.
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